Bungou Stray Dogs
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Par un beau matin • [ PV : Mori ]

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F. Scott Fitzgerald
F. Scott Fitzgerald
F. Scott Fitzgerald
Messages : 3
Date d'inscription : 12/03/2017
Dim 12 Mar - 23:18
Les grands esprits se rencontrent.
MINE •••
Il n'y avait pas de meilleur jour que le lundi, pour aller faire les magasins. En début de matinée, de préférence. Juste après avoir pris un excellent petit-déjeuner. Parce que si chaque jour Francis se levait tôt, afin d'être sûr de pouvoir profiter de sa journée au maximum, le lundi était clairement le jour où il se sentait le mieux. Mais il ne saurait pas dire pourquoi, par contre. C'est comme ça, et ça lui convenait parfaitement. Alors quand il se sentait bien, il n'avait envie que de peu de choses, et aujourd'hui ça avait été de faire les magasins. Oh, il pouvait bien se permettre quelques petites folies, ce n'est pas comme s'il pouvait craindre de manquer d'argent. Et tant qu'à faire des folies, le patron de la Guilde avait décidé de s'y rendre tout seul. Eh oui, petit coup d'adrénaline. Mais il ne craignait de toute façon rien, il ne ferait rien de dangereux. Juste des petites courses. Rien de grave, vraiment. De toute manière, c'était soit ça soit un footing matinal. Et il avait l'impression qu'il risquait moins en faisant les magasins. Autant suivre son intuition. Et puis son footing, il aurait encore tout le reste de la journée pour le faire. Donc voilà.

Et ça avait très bien commencé. Il avait été se prendre un café dans ce petit truc sympa qui possède un large choix de commandes. Il avait dépassé un homme, dans la file. Ah oui, mais cet homme avait l'air particulièrement pressé, et avait dépassé une pauvre femme enceinte. Donc oui, il l'avait dépassé. En laissant la femme passer devant, bien sûr. Il n'était pas un gros goujat, lui. Ah bah désolé, mais si on est vraiment pressé, on ne prend pas de café. C'est comme ça. Ça rend certainement encore plus pressé. Quoique, Francis n'en n'avait pas la moindre idée. Parce qu'il fait partie de ces personne possédant effectivement du temps. Il ne connaissait pas ça, être pressé. La politesse et le respect, par contre, oui. Enfin, soit. Après ça, il s'était rendu à la librairie. Mais elle était assez petite, et il était certain de déjà posséder tous les livres du magasin. Tous, oui. Alors non, il n'y avait pas passé beaucoup de temps. Ce n'est pas ce qui l'intéressait de plus. Non non, lui, ce qui l'intéressait, c'était surtout de rafraîchir sa gigantesque garde robe. Oh, en tant que patron de la Guilde et d'autres joyeusement, il se devait d'être toujours présentable. Et peut-être que la ville disposait de magasins de luxe assez intéressants pour lui. C'est ce qu'il avait entrepris de découvrir.

Et il en avait fait, des magasins différents. Beaucoup. Il avait trouvé des trucs, oui. Un beau pantalon bleu roi, en coton. Il n'était même pas cher, alors qu'aux dernières nouvelles, ce n'était pas encore les soldes. Oh, il ne s'en plaindrait certainement pas, bien au contraire. Mais qu'avait-il trouvé d'autre ? Des fleurs. C'est bien, les fleurs, ça sent bon. Il les mettrait dans son bureau. En parlant de bonne odeur, il avait aussi pris un nouveau parfum. Celui-ci, il pourrait le mettre le soir quand il décidait de sortir du dirigeable. Bonne idée, oui, il était au courant. Enfin, il n'avait pas envie de rentrer pour le moment.  Parce qu'il n'avait rien trouvé de marquant. Et il ne voulait pas avoir l'impression d'avoir perdu autant de temps pour rien. Alors non, il ne rentrerait pas avant d'avoir trouvé l'article ultime. C'est simple, quand même.

Et. Il l'avait. Vu. Le plus bel article de la ville, probablement. Il s'agissait d'une chemise. Mais pas n'importe quelle chemise. Une magnifique chemise noire. Le noir, ça va avec tout. Mais ce noir là, il était vraiment... Très noir. Il n'avait jamais vu un noir aussi noir, c'était fascinant, et avec une certaine luminosité, ça brillAH C'EST BEAU. Il la lui fallait. Maintenant, tout de suite, immédiatement. En plus... Oh Seigneur, c'était la dernière. Oh, il avait manqué de la déchiré en d'y agrippant comme ça. C'aurait été dommage, beaucoup trop dommage. Parfait. Elle était à l-. Pardon ? À qui était cette main, beaucoup trop proche de la sienne, tenant la même chemise. Ah non hein. Elle était à l-Oh.

Ce  n'était pas prévu. Il reconnaissait le coupable. Qui n'était autre que Mori Ougai. Oh. Ok. Il aimait faire les magasins aussi, lui ? Cool, rien à battre, il voulait juste la chemise. Ah, ils avaient peut-être fait affaire, oui. Mais c'est pas pareil, là. C'était très très important. Hm. Il n'allait pas la lui arracher des mains, quand même. Ça ne se faisait pas trop.

« Oh, bonjour !  Je vois que vous avez posé votre main sur cette chemise après moi, pourtant vous y étiez presque ! Mais belle matinée, n'est-ce pas ? »
 
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F. Scott Fitzgerald
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Mori Ōgai
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Mori Ōgai
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Date d'inscription : 06/03/2017
Lun 13 Mar - 0:50




Excuse me.Tu vas lâcher ça tout de suite en fait. Sinon tu vas pas aimer où vont aller mes mains scalpels comme tu les appelles.


Diriger la Mafia, ce n’était pas de tout repos. Du tout. Mais Mori aimait ça. Et quand on aime, on ne compte pas. Même si le brun devait bien avouer que la moitié de ses décisions étaient prises depuis un siège. Siège qu’il quittait rarement. A quoi bon. Il était bien trop confortable, et le premier qui essayerait de lui dire quoique ce soit, ou qui essayerait de le voler, finirait mort égorgé avant même d’avoir pu esquisser un sourire. Bon, peut-être qu’il finirait troué comme une passoire vu le nombre de personnes prête à le déchiqueter s’il osait un tel affront dans la pièce du fauteuil sacré. Mais au fond, ce petit paysan ne mériterait que ça. Mourir. Comme si n’importe qui pouvait se permettre de mettre ses fesses là-dessus. Après, son coussin il serait tout déformé et ça ne serait pas aussi confortable. Et il devrait en acheter un autre. Un coussin, ça ne se choisissait pas sur un coup de tête oh. Point du tout. Un achat on ne peut plus réfléchi. Qui prenait énormément de temps, et de patience. Et maintenant, à force de penser achat, Mori avait eu envie d’aller acheter quelque chose. Il ne savait pas quoi. Mais il pouvait se le permettre, alors bon.

Dans sa première idée, il avait voulu s’y rendre avec Elise. Qui dirait non à une séance surprise de shopping, vraiment. Ah. Bah Elise en fait. Trop de choses à faire, trop occupée visiblement. Elle l’avait un peu envoyé bouler. Mais il pouvait comprendre. Il l’avait dérangée en pleine séance de dessin intensif. D’après ce qu’il avait pu voir. En fait il s’en foutait complètement. Mais lorsqu’il s’agissait de trouver des excuses à Elise, il en trouvait. Toujours. Ce pourquoi il en avait pour personne d’autre. Soit. Maintenant qu’il était seul et définitivement sans ami, il avait une raison de plus pour aller noyer sa tristesse dans une séance d’achats compulsifs. Bon. Pas n’importe quoi non plus il ne gaspillait pas de l’argent juste pour le plaisir de gaspiller. Il allait prendre quelque chose d’utile. Vraiment. Des chemises. On avait jamais assez de chemises. Puis c’était classe. Et utile.

Et toute sa personne était classe, autant dire ce qui était véridique. Ce pourquoi aussi il avait mis pas mal de temps à se préparer. Encore plus pour convaincre tout le monde qu’il savait sortir seul et qu’il valait mieux surveiller Elise. Si il lui arrivait quoique ce soit, il ne leur pardonnerait jamais. Et ils le savaient très bien. Soit. Il faisait même beau. Et les gens affluaient un peu partout en ville, même pour un lundi matin. Sans doute qu’ils allaient tous travailler. Ah la belle vie. Qu’il ne regrettait pas du tout. Lui, il pouvait aller dans son magasin préféré de tous les temps – ou pas – quand il le voulait. Comme maintenant. Ah qu’il aimait cette odeur de magasin. Sûr qu’elle changeait beaucoup de celle du sang en fait. Mais inutile de penser à ce genre de diversité maintenant. Il pouvait pleinement se concentrer sur sa recherche de chemises et trouver LA bonne. Elle était juste là. Magnifique. N’attendant que lui. Maintenant il pouvait aller la payer et, pardon. Pourquoi on tenait sa chemise. Oui elle était déjà à lui. Dans sa tête, il la portait déjà. Mais. Quelqu’un l’empêchait d’accomplir son but. Qu’il aille mourir en enfer. Non, plus bas, parce que l’Enfer, il y avait déjà sa place réservée. Et il ne voulait pas voir ce blond platine qui ressemblait étrangement à une personne avec qui il avait déjà dû avoir affaire. Fitzgemuche. Pourquoi retenir son nom entier. L’Américain, c’était très bien comme surnom. Bon il avait un minimum de respect pour lui. Qui partit totalement en fumée. Ses mains posées après les siennes. C’est cela. Il le prenait pour un gosse de trois ans à lui parler de la sorte ou bien. Mais il était bien incapable de faire autre chose que de lui sourire poliment. Rien ne servait de s’énerver. Du tout. Plus marrant en fait de le voir s’énerver s’il y arrivait. Hors de question en tout cas qu’il lâche sa chemise.

« ▬ Bonjour. Très belle matinée en effet, étonnant que vous l’ayez remarqué, à la vue de vos probables problèmes de vision. Si vous le souhaitez, je peux vous fournir l’adresse d’un très bon ophtalmologue dans le coin. »

Quoique. Peut-être qu’il était déjà six pieds sous terre. Il n’avait pas franchement besoin de lunettes. Du tout. Alors s’il le connaissait c’était qu’il avait dû, d’une manière ou d’une autre lui régler son compte. Fascinant. Et peu intéressant, étant donné qu’il souhaitait juste avoir, cette chemise. Point final.

« ▬ Quoiqu’il en soit, j’espère que vos affaires sont bonnes. Si vous tenez tant à vous offrir la même chemise que la mienne, il devrait en rester dans une de leurs nombreuses filières. »  



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Mori Ōgai
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F. Scott Fitzgerald
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Date d'inscription : 12/03/2017
Mar 14 Mar - 20:41
Les grands esprits se rencontrent.
MINE ••• Eh bien, c'est que l'autre homme n'avait pas l'air décidé à lâcher la chemise non plus. Bien, ils étaient censés faire quoi, maintenant ? Attendra que l'autre ne se retrouve la raison et ne lâche l'habit ? Excellente idée. Et cet autre, ça ne serait pas Francis. Ah bah non, il ne voyait pas pourquoi ça serait à lui de lâcher. S'il ne la tenait pas, il serait prêt à aller demander au gérant du magasin s'il avait des enregistrement des caméras du magasin. Parce qu'il devait certainement y en avoir. Ce serait scandaleux, sinon. Enfin, il notait l'idée, si jamais le brun restait aussi têtu. Enfin, peut-être que ça allait un peu aider à le convaincre si Francis arborait son plus beau sourire étincelant. Oui, il n'avait presque aucun doute là-dessus. Oh moins, l'autre homme lui souriait aussi. Très poliment. C'est.. Bien. Parce que son sourire n'était que poli, aussi. Enfin, poli et peut-être un peu agacé. C'est facile d'être agacé dans ce genre de situation, aussi. Même s'il était persuadé d'arriver à ses fins quand même, quoi qu'il puisse se passer.

« C'est bien gentil de votre part, mais je suis certain de ne pas en avoir besoin. Vous, par contre.. Vous auriez peut-être du vous spécialiser là-dedans. Enfin, je ne nie pas le fait que vous ayez bon goût, c'est déjà ça. »

Mais le blond aurait quand même préféré que le mafieux ne se tourne vers un article pourri plutôt que vers cette magnifique chemise qui ne méritait que d'appartenir à quelqu'un d'aussi bien que Francis. C'est clair, ça ferait nettement mieux ressortir ses yeux que ceux d'Ougai. Ah bah oui mais désolé, c'est comme ça. Pas de sa faute s'il avait de magnifiques yeux aussi bleus que le ciel où volait le dirigeable, hein. Il n'avait rien demandé. Mais il l'aurait fait, s'il avait eu des yeux moches. Ce n'était pas le cas, de toute façon.

« Elles le sont, merci. Je suppose qu'il en va de même pour les vôtres, vous ne seriez sans doute pas ici à essayer de prendre ma nouvelle chemise. De toute façon, je crains ne pas avoir assez de temps pour ça, malheureusement. Qui aurait cru que ça pourrait prendre autant de temps, d'être le patron d'autant d'entreprises.. »

Sans rire, il est vrai que la paperasse prenait beaucoup de temps à remplir, peut-être même parfois un peu trop. Mais il y était habitué, et ne se lassait certainement pas de son travail. Jamais il ne souhaiterait en changer, d'ailleurs. Il avait une des meilleures places sur Terre, autant en profiter un maximum et tout faire pour ne rien perdre. Jusqu'ici, il avait réussi sans soucis. Donc pourquoi ça changerait maintenant, hein ?

«  Au fait, avez-vous au moins regardé la taille de la chemise ? Il serait dommage qu'elle ne vous aille pas, quand même. Personnellement, c'est quelque chose que j'arrive à déterminer au premier coup d'oeil. Et j'ai l'impression qu'elle est un peu trop grande pour cous, non ?  »

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Mori Ōgai
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Jeu 16 Mar - 21:56




Excuse me.Tu vas lâcher ça tout de suite en fait. Sinon tu vas pas aimer où vont aller mes mains scalpels comme tu les appelles.

Sinon, ça lui coûterait peut-être un peu trop de retourner chez lui, plutôt que de venir souiller cette si belle ville ? Sa ville en fait. Qui ne tarderait pas du tout à tomber entre ses mains. Ce n’était qu’une question de temps. Certes, la venue de ces étrangers là-bas qui se faisaient appeler Guilde l’avait décidé à se bouger un peu plus vite. Un peu. Parce qu’il ne fallait pas non plus trop précipiter les choses oh. Après on commencerait à faire n’importe quoi. Comme essayer de s’emparer de la chemise du patron de la mafia. N’importe quoi. Vraiment. Et puis c’était quoi son sourire. Avec ses dents bien trop faussement blanches. Et sa teinture blonde aussi. Parce que non, strictement personne ne pouvait avoir naturellement des cheveux de cette couleur oh. Et non ce n’était pas de la jalousie. Le noir, c’était nettement plus classe. Et cette chemise le prouvait une nouvelle fois. Oh. Est-ce qu’il était en train de l’insulter plus ou moins discrètement. Oui. Certainement. Est-ce qu’il allait laisser passer ça. Un peu bien obligé, qu’est-ce qu’il pourrait bien faire dans un centre commercial aussi bondé. Pas grand-chose. Son but à la base était un peu de rester discret en fait.

« ▬ Il est plutôt étonnant de voir que vous êtes capable de faire preuve de bon goût, lorsque l’on a la chance de connaître votre…Extravagance habituelle. Qui pourrait être traduite par un égoïsme ou un excès beaucoup trop prononcé. »

Comme si Mori ne pouvait pas faire preuve de bon goût. Il passait un temps vraiment considérable le matin, et même parfois en plein milieu de la journée à faire attention à ce que tout soit parfait sur lui. En attendant, il n’allait pas lâcher l’affaire. Ni la chemise d’ailleurs. Que le blond s’appropriait. Mais oui bien sûr. Comme si qui que ce soit pouvait croire qu’il détenait des bons réflexes. En tout cas, jamais ils ne seraient meilleurs que les siens, point final. Mais visiblement simplement faire causette ne déciderait pas Fitzgerald à lâcher prise. Pas totalement stupide, et le brun s’en rendait malheureusement compte. Il s’en était déjà rendu compte à vrai dire. Mais on ne sait jamais que du jour au lendemain, ça change, sans aucune raison particulière, hm.

« ▬ Quel dommage pour vous. Personnellement, j’ai tout le temps nécessaire à consacrer à l’acquisition de machemise. »

Plutôt pratique d’avoir quelques subordonnés sur lesquels il savait totalement ou presque, pouvoir compter. Et aussi un téléphone à proximité en fait s’il y avait le moindre problème. Il pourrait le prendre de sa main libre pour écouter ce qu’on avait à lui dire, tout en ignorant le blond là-bas, tout en essayant de prendre son bien. Oh. Il essayait de lui mettre le doute. Et bien même si c’était beaucoup trop grand pour lui, il la mettrait quand même. Tous les jours. Pour être certain de croiser l’américain avec, et qu’il soit de la sorte dégoûté. Une manière de lui rappeler sa future défaite. Parce qu’il était impensable que le blond puisse hériter d’une si belle pièce vestimentaire, alors que Mori l’avait vue en premier.

« ▬ Sûr et certain. Vous saviez au moins que nos tailles ne correspondent pas totalement aux vôtres ? Œil ou non, je préfère me fier à l’étiquette plutôt qu’à votre impression, certainement faussée. Allons donc, vous savez sans doute mieux que quiconque ou presque, que vous feriez mieux d’aller voir ailleurs. »




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Mori Ōgai
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